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2017-2022 

L’homme aux cartons

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Deux ans de corps à corps avec les cartons, de beauté sans cesse renouvelée, sans cesse différente, jamais répétitive, avec sans cesse l’interrogation sur l’utilisation du matériau carton.  Pourquoi ? Comment ? Cette mise en carton de la peinture, mise en peinture du carton, cette fabrique d’animisme contra-obsolescente, constitue une œuvre terriblement contemporaine (écologie, actualité planétaire), écologique au double sens de l’utilisation de matériaux recyclés recyclables, potentiellement rebuts ou déchets (faire un rébus d’un rebut) ; de représentation de la nature, trans et même post contemporaine car chantant la nature et l’Être et leur persévérance et non pas les états d’âme de l’artiste - l’écologie versus l’égologie, le tout à l’Être, le tout à l’autre versus le tout-à-l’égout des artistes préoccupés d’eux-mêmes.

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Charlie Galibert (extrait de L’homme aux cartons)

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